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ner à Hereford. Elle dut alors accomplir cet autre
devoir de se donner, elle, et sa fortune, à celui qui l’aimait. Comme ce sont plutôt les incidents relatifs à la fortune de notre héroïne, que son amour, qui donnent à cette histoire le peu d’intérêt qu’elle peut avoir, — comme ce n’est pas une histoire d’amour que nous avons racontée, — le lecteur ne demande pas à suivre l’heureux couple jusqu’au pied de l’autel. Mais nous pouvons dire, en anticipant sur l’avenir, que plusieurs fils leur naquirent ; que la propriété fut transmise à l’aîné et, après lui, à sa descendance masculine ; et qu’à son baptême il fut inscrit avec cette suite majestueuse de noms : William Apjohn Owen Indefer Jones.
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