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CHAPITRE XLVII


CONCLUSION.


Je me dis qu’il est à peu près inutile que j’écrive ce dernier chapitre. L’histoire, telle que j’ai voulu la conter, est achevée. Le but que je me suis proposé a été mis en lumière, ou, si je n’ai pas réussi à le faire comprendre, je n’espère pas y parvenir en ajoutant quatre ou cinq pages. J’ai voulu montrer les résultats de la faiblesse et de la folie, — de ce genre de faiblesse et de folie qui est le plus répandu parmi nous. On pourra deviner sans peine ce que le sort réservait aux divers personnages dont il a été question. Pourtant, la coutume, ainsi que le désir de mener à fin un travail et de le compléter en quelque sorte, m’imposent ce dernier chapitre.

Moins de six semaines après la mort de sir Henry, le ministre de Hurst-Staple épousa Adela Gauntlet. Tout critique qui voudra peser les défauts de ce livre, tout lecteur, — indulgent ou sévère, — qui en tournera rapidement les feuillets, dira qu’il n’était pas digne d’elle. Je l’espère de tout mon cœur. Je compte

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