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cents, qui me montrent le poing quand je passe au milieu d’eux en me dirigeant vers la tribune.
Mais ce sont d’honnêtes gens et, malgré leurs imprécations et leur colère, ils ne m’ont pas sali, ni meurtri d’un geste. Ils ont même fini par m’écouter, quand j’ai mis le doigt sur la trahison ! La houle s’abat, la colère s’apaise…
Mais j’en ai assez ! Je rends mon képi et mon sabre, je donne ma démission.
Bonsoir, camarades !
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