< Page:Vallès - Le Bachelier.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Le soir, quelquefois, quand j’étais seul, je relisais ses vers ; et il me semblait que je trempais mes mains, qui sentaient le tabac, dans une eau vive comme celle qui coulait à travers les prés de Farreyrolles, en faisant trembler l’herbe et les clochettes jaunes !…
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.