< Page:Vallès - Le Bachelier.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Il y a un estropié qui criait l’autre jour sous une fenêtre : « Ma femme a faim, ma femme a faim ! »

Et cela ne fait pas plus dans cette rue, que le hennissement d’une bête dans un pré ou le cri d’un geai dans un arbre !

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.