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Chloris
Rosalinde
Myrtil, à Rosalinde.
Sylvandre, à Chloris.
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Et puisqu’en ce conflit où chacun se rebiffe
Chloris aussi veut bien m’avoir pour hippogriffe
De ses rêves devers la lune ou bien ailleurs,
Me voici tout bridé, couvert d’ailleurs de fleurs
Charmantes aux odeurs puissantes et divines
Dont je sentirai tôt ou tard les épines,
(À Chloris)
Madame, n’est-ce pas ?
Taisez-vous et m’aimez.
Adieu, Sylvandre !
Adieu, Myrtil !
Est-ce à jamais ?
C’est pour toujours !
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