< Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, III.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.
64
DANS LES LIMBES

Au point par ma langueur loin de toi, douce voix,
Divine voix dont les gaîtés sont des pavois
Où trônent mes désirs triomphais en cette heure.

La voix s’envole, mais le souvenir demeure.


1er janvier 1893.
    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.