< Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, IV.djvu
Sois oubliée en les hivers !
Et tes cheveux couleur de deuil
Tu ne ressusciteras pas !
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
72
les poètes maudits
RÉVEIL
Ô toi dont je reste interdit,
J’ai donc le mot de ton abîme.
| · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · |
ADIEU
Un vertige épars sous tes voiles
Tente mon front vers tes bras nus.
| · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · |
Ne font plus d’ombre sur mes rêves.
RENCONTRE
Tu secouais ton noir flambeau,
Tu ne pensais pas être morte :
J’ai forgé la grille et la porte
Et mon cœur est sûr du tombeau !
| · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · | · |
Et comment nous tenir de mettre encore sous vos yeux cette fois une pièce tout entière ? Comme dans Isis, comme dans Morgane, comme dans le
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.