< Page:Vivien - Sapho, 1903.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.



Alentour, [la brise] murmure fraîchement à travers les
branches des pommiers, et des feuillages frissonnants coule le
sommeil.


La fraîcheur se glisse à travers les pommiers,
Le ruisseau bourdonne au profond des verdures,
Tel le chant confus qui remplit les guêpiers
Aux légers murmures.

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.