Téone se leva : son air et son langage
Ne connurent jamais les soins étudiés ;
Les Grecs, en la voyant, se sentaient égayés.
Téone, souriant, conta son aventure
En vers moins allongés, et d’une autre mesure,
Qui courent avec grâce, et vont à quatre pieds.
Comme en fit Hamilton[1], comme en fait la nature.
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Vous connaissez tous Agathon ; |
- ↑ Voyez, dans les Œuvres d’Antoine Hamilton, le début du conte intitulé le Bélier.