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TRADUCTIONS.
Les soldats aux soldats paraissent s’appuyer ;
Le bouclier d’airain se joint au bouclier ;
Le casque joint le casque ; une forêt mouvante
De panaches brillants porte au loin l’épouvante.
Tel d’un vaste palais l’habile ordonnateur
Par des marbres épais en soutient la hauteur,
Les unit l’un à l’autre ; et le superbe faîte
S’élève inaccessible aux coups de la tempête[1].
FIN.
- ↑ Une place à part est réservée dans cette édition à quelques pièces de poésie, qui n’ont pas été recueillies jusqu’à présent dans les Œuvres de Voltaire, et qui lui sont attribuées avec plus ou moins de vraisemblance.
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