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Chap. VII. — De l’Alcoran, et de la loi musulmane. Examen si la religion musulmane était nouvelle, et si elle a été persécutante, 215. — Polygamie, 216. — Paradis de Mahomet, le même que chez tous les anciens, ibid. — L’Alcoran, ibid. — Que la religion mahométane était très-ancienne, 216. — Islamisme, 220. — Sectes mahométanes, 221.

Chap. VIII. — De l’Italie et de l’Église avant Charlemagne. Comment le christianisme s’était établi. Examen s’il a souffert autant de persécutions qu’on le dit, 222. — Juifs toujours privilégiés, 223. — Examen des persécutions contre les chrétiens, 225. — Dioclétien protecteur des chrétiens, 227. — Origine de la persécution, 228. — Faux martyrs, 229. — Vrais martyrs, ibid.

Chap. IX. — Que les fausses légendes des premiers chrétiens n’ont point nui à l’établissement de la religion chrétienne, 230.

Chap. X. — Suite de l’établissement du christianisme. Comment Constantin en fit la religion dominante. Décadence de l’ancienne Rome, 235. — Eusèbe, historien romanesque, 236. — Conduite de Constantin, 237. — Donation de Constantin, 239.

Chap. XI. — Causes de la chute de l’empire romain, 241.

Chap. XII. — Suite de la décadence de l’ancienne Rome, 244. — Entière liberté de conscience en Italie, mais courte, ibid. — Papes ne peuvent être consacrés qu’avec la permission de l’exarque, 245.

Chap. XIII. — Origine de la puissance des papes. Digression sur le sacre des rois. Lettre de saint Pierre à Pépin, maire de France, devenu roi. Prétendues donations au saint-siége, 247. — Le pape vient implorer le maire Pépin, 248. — Pépin n’est pas le premier roi sacré en Europe, comme on le dit, ibid. — Second sacre de Pépin, ibid. — Origine du sacre, 249. — Usage de baiser les pieds, 250. Donation de Pépin aux papes très-suspecte, ibid.

Chap. XIV. — État de l’Église en Orient avant Charlemagne. Querelles pour les images. Révolution de Rome commencée, 253. — Lettre admirable d’un pape qu’on croit hérétique, 254. — Nulle dispute dogmatique chez les anciens, 255. — Images, ibid. — Guerre civile pour les images, ibid. — L’évêque de Rome, 257.

Chap. XV. — De Charlemagne. Son ambition, sa politique. Il dépouille ses neveux de leurs États. Oppression et conversion des Saxons, etc., 257. — Conduite de Charlemagne, ibid. — Saxons, 258. — Vitikind, 259. — Saxons convertis à coups de sabre, ibid. — Colonies, 260.

Chap. XVI. — Charlemagne, empereur d’Occident, 262. — Polygamie, ibid. — Fin du royaume lombard, ibid. — Rome, 263. — Charlemagne, patrice, ibid. — Charlemagne, empereur, 264. — Donation de Charlemagne très-douteuse, ibid. — Charlemagne ordonne à son fils de se couronner lui-même, 266.

Chap. XVII. — Mœurs, gouvernement, et usages, vers le temps de Charlemagne, 267. — Barbarie de ces siècles, 268. — Mœurs atroces, 269. — Premiers rois francs ne sont pas reconnus rois par les empereurs, 270. — Maires du palais, ibid. — Le clergé ne fait un ordre dans l’État que sous Pépin, ibid. — Lettre remarquable, ibid.

Chap. XVIII. — Suite des usages du temps de Charlemagne, et avant lui. S’il était despotique, et le royaume héréditaire, 271.

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