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Page 590, vers 2. — Fatime n’est point nommée en tête de la scène ; on lit dans l’édition de 1767 :

Ah ! grand Dieu, soutiens-moi !

C’est aussi ce que j’ai entendu au Théâtre-Français. (B.)

Page 591, vers 15. — Édition de 1736 :

Peut-être accusiez-vous ce trouble trop charmant
Que l’innocence inspire à l’espoir d’un amant.

Page 593, vers 6. — Édition de 1736 :

Corasmin, que ces murs soient fermés à jamais.

Ibid., vers 10. — Édition de 1736 :

On peut, sans s’avilir, oubliant sa fierté.
Jeter sur son esclave un regard de bonté ;
Mais il est trop honteux de craindre une maîtresse ;
Aux mœurs de l’Occident laissons cette faiblesse.

Dans l’édition de 1738 les deux premiers vers sont tels qu’on les lit à présent dans le texte ; mais les deux derniers sont remplacés par ceux-ci :

Mais il est trop honteux d’avoir une faiblesse ;
Aux mœurs de l’Occident laissons cette bassesse. (B.)

Page 596, vers 9. — Édition de 1736.


Fatime.

Eh ! ne voyez-vous pas que, pour vous excuser…


Zaïre.

Oui, je vois tout, hélas ! je meurs sans m’abuser.
Je vois, etc.

Page 598, vers 5. — Éditions de 1733, 1736, 1738 :

Quel caprice odieux que je ne conçois pas !

Page 607, vers 5. — Toutes les éditions portaient :

Ayez soin qu’à l’instant la garde le saisisse.


lorsqu’en 1817 j’ai mis ma garde, d’après un errata manuscrit de feu Decroix. (B.)

FIN DES VARIANTES DE ZAÏRE.
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