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avouer nos fautes et notre punition. Que ces hérétiques se gardent

de paraître devant mon frère le capitaine ; il leur ferait voir si tout est bien.

Je suis, monsieur, votre très-humble et très-obéissant serviteur,

Demad.

P. S. Mon frère le capitaine est l’intime ami de M. Ralph, professeur assez connu dans l’Académie de Francfort-sur-l’Oder, qui l’a beaucoup aidé à faire ce profond ouvrage de philosophie ; et mon frère a eu la modestie de ne l’intituler que Traduction de M. Ralph, modestie bien rare chez les auteurs.


FIN DE LA LETTRE.
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