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gédie de Médé[1] ? Nous lui applaudirons si elle est bonne. Les beautés qu’il aura répandues enrichiront notre littérature ; mais tant qu’il fatiguera le public de satires en prose et d’injures personnelles, il ne faudra que le plaindre.
fin du sentiment d’un académicien.
- ↑ Médée, tragédie en trois actes, par Clément, n’a paru qu’en 1779, in-8°.
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