< Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome35.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

je n’ai osé écrire que pour de l’argent, Les moindres plaisirs sont ceux qu’on demande le plus hardiment. Si messieurs les fermiers généraux me font le petit payement que je leur demande, et qu’ils peuvent, je crois, me faire sans aucun risque, ce sera tout ce que je retirerai probablement de ma dette sur feu monseigneur de Guise, à qui Dieu fasse paix !

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.