< Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome6.djvu
Cette page n’a pas encore été corrigée
ACTE II, SCÈNE V. 207
Oiio partout jo suis libre, et qu’ils peuvent connaître, Ce qu’on doit de respect au sang qui m’a fait naître, À mon rang, à mon sexe, à l’hospitalité, Aux droits des nations et de riiumanité. Conduisez-moi chez vous, magnanime Fulvie.
FULVIE.
Votre noble fierté ne s’est point démentie ; Elle augmente la mienne-, et ce n’est pas en vain Que le sort vous conduit sur ce bord inhumain. Puissé-je en mes desseins ne m’être point trompée !
JULIE.
dieux ! prenez ma vie, et veillez sur Pompée ! Dieux ! si vous me livrez à mes persécuteurs. Armez-moi d’un courage égal à leurs fureurs.
FIN DU DEUXIÈME ACTE.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.