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232 LE TRIUMVIRAT.

Al FIDE.

Je vous répouds du moins de mourir près de lui.

POMPÉE.

Mettez votre courage à supporter ma perte. La tente de Kulvie h vos pas est ouverte ; Rentrez, attendez-y les derniers coups du sort : Confondez vos tyrans encore après ma mort, Conservez pour eux tous une haine éternelle ; C’est ainsi qu’à Pompée il faut être fidèle. Pour moi, digne de vivre et mourir votre époux, Je leur vendrai bien cher des jours qui sont à vous.

— Le l ; \che fuit en vain, la mort vole à sa suite ;

— < ; ’est eu la défiant que le brave l’évite \

i. Dans la leUre à d’Argental, du 23.juin 1704, se trouve un vers qui avait place ici ; mais on n’a pas les autres qui faisaient partie de la même version. (B.)

FIN DU QUATRIÈME ACTE.

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