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UO LES TKLOl’lDES.
■’ ATHÉE.
Tu vois rabîiuo allVeux où le sort m’a conduit… Mon injure m’accable, et ma raison me fnit. Des fantômes sanglants ont rempli ma pensée ; Des cris sont échappés de ma bouche oppressée… Mon esprit égaré par Texcès des tourments S’étonne du pouvoir qu’ont usurpé mes sens… Tu me rends à moi-même… Enfin je me retrouve. l*ar(lonne à des fureurs qu’avec toi je réprouve. Je les repousse en vain… ce cœur désespéré Est trop plein des serpents dont il est dévoré.
IDAS.
Rendez quelque repos à votre âme égarée.
ATRÉE.
Enfers qui m’appelez, en est-il |)oiir \trée ?
FIN DU QUATRIÈME ACTE.
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