< Page:Wash Irving voyage dans les prairies.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
vreau. Mais, ce qui me surprenait le plus, c’était la promptitude avec laquelle ces pauvres animaux,
arrachés à la liberté illimitée des prairies, se soumettent à la domination de l’homme. Au bout de deux ou trois jours, la jument et les deux poulains allaient avec les chevaux menés en lesse, et les premiers étaient devenus aussi parfaitement dociles que leurs compagnons.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.