< Page:Zo d’Axa - Endehors.djvu
Cette page a été validée par deux contributeurs.

ble..... » On ajoutait qu’il est des secrets

qu’on essaye d’enterrer avec les personnes qui les détiennent. Bref — menaces latentes — on annonçait de possibles surprises…

L’Éclair a fait justice de ces laborieuses hypothèses, en publiant un article dont la thèse se résume en peu de mots, à savoir : quand une vieille dame est assassinée il ne faut pas fatalement supposer que ce soit par son fils.


Dans le public, constatons-le, il y a un sentiment d’indéfinissable admiration pour la maîtrise avec laquelle le crime fut exécuté.

Quelle énergie ! Quel sang-froid !

On se rappelle l’individu imperturbable et bien mis — ce recordman de la belle ouvrage ! guettant la sortie de la bonne, s’introduisant — serviette d’avocat sous le bras et couteau de boucher dans la serviette — au domicile d’une dame qu’il sait seule, égorgeant d’un coup la maîtresse de céans et procédant ensuite aux recherches, papier ou monnaie, pour lesquels il s’était dérangé. Inopinément interrompu par

    Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.