< Petits poèmes russes
NÉKRASSOV
LES SEULES LARMES
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Lorsqu’aux champs de combat, pour les rois sans remords Je ne plains pas même les morts.
L’épouse s’éprendra, demain, d’un nouveau rêve, Tant d’oublis, souffrira sans trêve.
Ô pauvres mères ! que vos pleurs.
Tes fidèles branches pleureuses !
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