Voyages aux pays du cœur, (p. 97).
UN MATIN AU LEVER DU SOLEIL.
Ô poëte niais ! pauvre arrangeur de rimes,
Tu veux chanter, dis-tu, mais qui t’écoutera ?
Eh ! les vers aujourd’hui se débitent en primes ;
On en fait à la toise et nul ne les lira.
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