< Voyage sentimental
Chez Jean-François Bastien (Tome cinquième. Tome sixièmep. 258).



CONCLUSION.


Mes idées étoient trop agitées et trop excentriques, pour que je pusse dormir, — je pris un fiacre, et fis tout le tour de Paris. C’est une chose étrange que les passions qui sont les bourasques de la vie, et à quelques restrictions près le seul mobile de nos actions, causent en même-temps notre misère et toutes nos infortunes. Je réfléchissois encore sur les misères de la vie humaine, lorsque mon cocher me ramena chez moi........

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