Rozig ar Mager

Breton

Étymologie

Composé de rozig coteau dans sa forme diminutive -ig »), ar et Mager Maguer, nom de personne »)[1].

Nom propre

Rozig ar Mager[1] \ˌro.zi.ɡ‿ar.ˈmɑː.ɡɛr\

  1. Rozic-ar-Maguer, quartier de Pont-l’Abbé.
    • N’o anaveze ket ; paotred Penn-ar-Pont, marteze, pe Rozig-ar-Mager, hag eus ar skol all, sur a-walcʼh..  (Youenn Drezen, Skol-louarn Veig Trebern, tome 1, Éditions Al Liamm, 1972, page 63)
      Il ne les connaissait pas : des garçons de Penn-ar-Pont, peut-être, ou de Rozic-ar-Maguer, et d’une autre école, sûrement.
    • Un arzour ha na zeu ket a-benn, en abeg d’ ar cʼhleñved, da skeudenniñ er maen, dezhi da vezañ skeudenn Itron Varia Garmez, patronez ar barrez, korf ha dremm Jani Dreo, « gwercʼhezig Rozig ar Mager », ar vigoudenn yaouank a oa e spered ganti.  (Kenan Kongar, Lennadennoù, in Al Liamm, no 151, mars-avril 1972, page 137)
      Un artiste qui ne parvient pas, à cause de sa maladie, à représenter dans la pierre, qui doit être l’image de Notre Dame des Carmes, la patronne de la paroisse, le corps et le visage de Janig Dreo, « la petite vierge de Rozic-ar-Maguer », la jeune Bigouden qui occupait son esprit.

Références

  1. Office public de la langue bretonne, Kerofis, consulté le 22 avril 2023
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