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L’ANNEAU D’AMÉTHYSTE[1]
I
Madame Bergeret quitta la maison conjugale, ainsi qu’elle l’avait annoncé, et se retira chez madame veuve Pouilly, sa mère.
Au dernier moment, elle avait pensé ne point partir. Pour peu qu’on l’en eût pressée, elle aurait consenti à oublier le passé et à reprendre la vie commune, ne gardant à M. Bergeret qu’un peu de mépris d’avoir été un mari trompé.
- ↑ Les volumes de l’Histoire contemporaine qui précèdent celui-ci ont pour titre
L’Orme du mail.
Le Mannequin d’osier.
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