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Mlle ÉLISA MERCŒUR
À SON ALTESSE ROYALE
MONSEIGNEUR LE DUC D’ORLÉANS [1].

 

Un coup d’œil de Louis enfantait des Corneilles.

 

Qu’il est dans l’avenir de secrets qu’on ignore !
Que de fois un instant changea seul un destin !
Que d’êtres, éclairés par un éclat soudain,
        Sont inconnus la veille encore,
        Sont illustres le lendemain !

  1. Élisa présenta elle-même ses vers à monseigneur le duc d’Orléans, et eut tout lieu, par la manière dont il les accueillit, de s’applaudir de la démarche qu’on lui avait conseillé de faire.
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