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À Mme AUBLIN DE VILLERS [1].
S’il écoute nos vœux, que le temps sur son aile
Emporte vos douleurs, vos regrets, vos ennuis ;
Qu’il vous donne en échange une santé nouvelle
Bien douce à vous, bien chère à vos amis ;
Que tous vos momens de souffrance
De votre souvenir soient bientôt effacés,
Que l’avenir enfin, comblant notre espérance,
Vous refasse un présent de vos beaux jours passés !
(1er janvier 1834.)
- ↑ Un mois après l’envoi des vers ci-dessus, nous reçûmes une écritoire ; c’était celle qui avait appartenu à la bonne madame de Villers, et dont elle se servait le plus souvent. Ses enfans l’envoyaient comme souvenir à mon Élisa : leur mère n’existait plus !…
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