< Page:Monselet - Fréron, 1864.djvu
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Clerc, M. le procureur du roi, Mme de

Malherbe[1], Mlle sa fille et M. son fils, Mme perrin et deux autres personnes dont je ne me rappelle pas le nom. Le lendemain jeudi, nous dînâmes chez M. de Silguy ; il y avait au moins trente personnes ; le soir, nous soupâmes chez le procureur du roi, qui avait encore plus de monde ; il y avait deux tables, et j’ai compté quarante-trois personnes. Hier vendredi, nous allâmes diner à Laniron, chez l’Évêque, qui nous avait invités. Il y avait Mlle de Cuillé, sa sœur, Mme Warts, M. Dubot, de Carhaix, son fils l’abbé, M. le principal du collège, M. Denis, et plusieurs autres ecclésiastiques ; nous soupâmes chez M. Gazon. Aujourd’hui samedi, nous dînons chez M. Basse-Maison et nous soupons chez M. de Silguy. Demain dimanche, diner au collège ; M. l’Évêque, Mlle de Cuillé et plusieurs dames y seront ; souper chez M. Le Thou. Lundi, diner chez M. l’abbé du

  1. Fréron descendait du poète Malherbe par sa mère.
Cet article est issu de Wikisource. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.